Oh le boulet !

Il y a longtemps, on avait abordé le sujet des paroles qu'on avait un jour mal comprises.

Cet après-midi, je suis en train d'écouter l'album "Déraisonnable" et en particulier la chanson "Les filles" ... et là, je me rends compte que pendant plus de 40 ans, j'ai chanté "Quand elles sont en tailleur" à la place de "Quand elles s'en vont ailleurs" ! Et je comprends aujourd'hui pourquoi je trouvais que ça ne voulait rien dire !

J'adore cette chanson tout comme album

Pascal Cosne sur Loire a écrit:Il y a longtemps, on avait abordé le sujet des paroles qu'on avait un jour mal comprises.

Cet après-midi, je suis en train d'écouter l'album "Déraisonnable" et en particulier la chanson "Les filles" ... et là, je me rends compte que pendant plus de 40 ans, j'ai chanté "Quand elles sont en tailleur" à la place de "Quand elles s'en vont ailleurs" ! Et je comprends aujourd'hui pourquoi je trouvais que ça ne voulait rien dire !

Je comprends mieux pourquoi la réputation de “chanteuse à textes” lui collait à la peau. Tu ne devais pas être le seul…
Moi pendant longtemps j’ai pensé qu’elle chantait : c’est la photo hasard dans Leroy Brown. Bien plus tard, j’ai compris que “c’est la faute au hasard”…
Pourtant, elle a une belle diction Sylvie!

Dans "L'enfant aux papillons" je n'arrivais pas à comprendre ce passage "Qui en jouant pâlit avec les fleurs et ouvre grand, ouvre grand ses yeux noyés de pleurs", jusqu'au jour ou j'ai vu les paroles !

Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire, dans la chanson de Johnny "Entre mes mains" je comprenais "Combien de quarts vittel et combien de sodas" au lieu de "combien de capitaines et combien de soldas" ! Bon, d'un autre côté quart vittel, soda çà ce tenait !
Et dans "L'idole des jeunes", je traduisais l'idole déjeune !

Moi dans Irrésistiblement je comprenais "il reste encore tu mens" au lieu de Irrésistiblement. Le bon son des 45T et des électrophones de l'époque !

Vous me faites penser à ma chère Maman qui, hélas, n'est plus de ce monde, qui, dans "Bye bye Leroy Brown" quand Sylvie chante "tu m'as prise à ton piège", comprenait "tu m'as pris ma concierge" ! Et elle me disais "c'est idiot ce qu'elle chante, ça veut rien dire" !!

ROLLMOPS a écrit:Vous me faites penser à ma chère Maman qui, hélas, n'est plus de ce monde, qui, dans "Bye bye Leroy Brown" quand Sylvie chante "tu m'as prise à ton piège", comprenait "tu m'as pris ma concierge" ! Et elle me disais "c'est idiot ce qu'elle chante, ça veut rien dire" !!    

« Tu m’as pris ma concierge et je ne peux vivre sans toi. »

Mais si, cela a du sens!

Regardez La cage dorée et Les femmes du sixième étage et vous comprendrez! Elles étaient et sont toujours indispensables les concierges espagnoles et portugaises.

Albi a écrit:

ROLLMOPS a écrit:Vous me faites penser à ma chère Maman qui, hélas, n'est plus de ce monde, qui, dans "Bye bye Leroy Brown" quand Sylvie chante "tu m'as prise à ton piège", comprenait "tu m'as pris ma concierge" ! Et elle me disais "c'est idiot ce qu'elle chante, ça veut rien dire" !!    

« Tu m’as pris ma concierge et je ne peux vivre sans toi. »

Mais si, cela a du sens!

Regardez La cage dorée et Les femmes du sixième étage et vous comprendrez! Elles étaient et sont toujours indispensables les concierges espagnoles et portugaises.

Tout à fait d'accord avec toi Albi, les concierges étaient indispensables. Mais maintenant il n'y a plus que des gardiennes ou gardiens d'immeubles et là où je demeure, il n'y a qu'un gardien pour quatre immeubles ! Ce n'est vraiment pas pratique ! Et " tu m'as pris ma concierge et je ne peux vivre sans toi, je ne saisis pas la logique.

Très bon film "les femmes du 6è étage" !

ROLLMOPS a écrit:

Albi a écrit:

ROLLMOPS a écrit:Vous me faites penser à ma chère Maman qui, hélas, n'est plus de ce monde, qui, dans "Bye bye Leroy Brown" quand Sylvie chante "tu m'as prise à ton piège", comprenait "tu m'as pris ma concierge" ! Et elle me disais "c'est idiot ce qu'elle chante, ça veut rien dire" !!    

« Tu m’as pris ma concierge et je ne peux vivre sans toi. »

Mais si, cela a du sens!

Regardez La cage dorée et Les femmes du sixième étage et vous comprendrez! Elles étaient et sont toujours indispensables les concierges espagnoles et portugaises.

Tout à fait d'accord avec toi Albi, les concierges étaient indispensables. Mais maintenant il n'y a plus que des gardiennes ou gardiens d'immeubles et là où je demeure, il n'y a qu'un gardien pour quatre immeubles ! Ce n'est vraiment pas pratique ! Et " tu m'as pris ma concierge et je ne peux vivre sans toi, je ne saisis pas la logique.  

Disons qu’une dame d’un certain rang, ne pouvait se passer des petits services de sa concierge. Donc si Leroy Brown lui prend sa concierge, Madame est désœuvrée et ne peut vivre sans lui (sans elle en réalité).

Nous sommes dans un sujet de surréalisme littéraire…des associations de l’esprit libéré de toute logique.

Merci Pascal tu m’as plongé dans mes lectures d’antan!