les 20 chanteuses preferees des français

J'ai regardé hier soir sur W9 cette émission, qui présentait les 20 chanteuses préférées des français ; si je vous dis que Sylvie n est pas dans le Top 20, seriez vous étonnés ? Je m'y attendais malgré tout. L'important c'est que Sylvie ait conquis mon coeur depuis bien longtemps, et tant pis pour les sondages! De cette génération, les 3 artistes classées sont Veronique Sanson et Françoise hardy., et à la première place France Gall !!!!!!!!!

ça depend des personnes qui ont ete sondees!!

Vanessa Paradis n'y figurait pas non plus !
Par contre on a eu droit à toutes les québécoises
Quand à mettre France Gall en numéro 1 c'est pipeauté
Elle ne chantait déjà plus depuis plus de 2 décennies avant sa mort .Kaas a disparu elle aussi depuis pas mal de temps
Mylène Farmer n'est que 3 e ....quand à notre Sylvie ce n'était même pas la peine d'espérer la voir y figurer par contre Francoise Hardy elle est toujours bien considérée comme d'habitude

Qui peut me dire qui figurait dans le classement ?

Y avait-il Dalida ?

Webmaster a écrit:Qui peut me dire qui figurait dans le classement ?

Y avait-il Dalida ?

Je te parie qu’elle y est ainsi que Piaf...les français ont une tendresse particulière pour leurs chers disparus

Quand on pense à sa carrière, sur scène notamment... Je pense à certaines qui en ont raremen fait, et même si c'est leur choix, qui n'ont jamais pris ce risque. Françoise Hardy par exemple. Elle pourrait chanter le Bottin, on l'encenserait encore. Comme quoi, le travail, l'engagement, 'l' échange avec un public pendant 60 ans, la prise de risque, ça ne paie plus, de nos jours. Aucune reconnaissance. C'est désolant.
Mais bon, faut se dire que tout ça, c'est du pipeau.

CLK, je vous rejoins! Chez nous on encense les dépressifs, les alcooliques, les malades et les morts.

Françoise Hardy (que beaucoup ici ces derniers temps semblent prendre du plaisir à asperger de venin...) a fait de la scène dès ses débuts en 1962, et elle a plusieurs Olympia à son actif, il ne faudrait pas l’oublier.
En 1968, après une tournée mondiale intense, elle a décidé de faire une pause et arrêter momentanément la scène. Évidemment, comme souvent, le provisoire s'est transformé en définitif.
Par ailleurs, elle ne s’est jamais cachée n’avoir jamais eu que peu d’attirance pour la scène, parce qu’elle ne s’y sentait pas à son aise.
 
J'ai eu l'occasion, la chance, le plaisir (ou les trois à la fois) d'avoir pu l'applaudir sur scène, vêtue de sa célèbre tenue blanche dessinée par Courrèges. C'était en pleine époque « Mon amie la rose », et sa présence scénique était incontestable. C’était un tour de chant, pas un show à l’américaine ni une comédie musicale. De toutes façons, ce n’était pas ce que tous les gens qui sont venus la voir ce soir-là attendaient d’elle.
 
Dans le texte de la chanson « Star » de 1977 qu’elle a rédigé (la chanson a été également interprétée par Marie Laforêt, mais avec d'autres paroles), elle se met dans la peau d'une « star » se confiant à un journaliste. Parlant de scène, elle dit ceci :
 
« ... Il y a quelques femmes qui savent bouger, trois pas et c'est gagné. Peut-être si j'essayais, je pourrais y arriver. Mais je ne suis pas très à l'aise pour me servir de mon corps, j'ai peur d'oublier mon texte, je pense au prochain accord. Ce n'est pas très spectaculaire, je ne sais pas y faire, je chante, c'est tout, des chansons sur toi et nous... »
 
J’ai adoré voir Sylvie sur scène, depuis 1969 pour la première fois, jusqu’à ces dernières apparitions au Grand Rex. J’ai connu les grands shows spectaculaires, j’ai connu les moments plus intimistes, les tournées en Bulgarie, à Montréal, à New-York, au Val d’Aoste, à Gaillard, à Tokyo et Osaka... Tous différents, tous enthousiasmants.
 
Maintenant, vouloir comparer l’incomparable, c’est-à-dire ses prestations avec celles de Françoise Hardy, c’est au mieux puéril, au pire malhonnête.
 
Moi j’ai toujours aimé ces deux artistes, depuis leurs tout débuts, toujours à égalité. Peut-être que le talent de chacune correspond à une partie différente de moi-même.
 
Et je m’en trouve très bien ainsi.


Henri-Michel

H-M.G a écrit:Françoise Hardy (que beaucoup ici ces derniers temps semblent prendre du plaisir à asperger de venin...) a fait de la scène dès ses débuts en 1962, et elle a plusieurs Olympia à son actif, il ne faudrait pas l’oublier.
En 1968, après une tournée mondiale intense, elle a décidé de faire une pause et arrêter momentanément la scène. Évidemment, comme souvent, le provisoire s'est transformé en définitif.
Par ailleurs, elle ne s’est jamais cachée n’avoir jamais eu que peu d’attirance pour la scène, parce qu’elle ne s’y sentait pas à son aise.
 
J'ai eu l'occasion, la chance, le plaisir (ou les trois à la fois) d'avoir pu l'applaudir sur scène, vêtue de sa célèbre tenue blanche dessinée par Courrèges. C'était en pleine époque « Mon amie la rose », et sa présence scénique était incontestable. C’était un tour de chant, pas un show à l’américaine ni une comédie musicale. De toutes façons, ce n’était pas ce que tous les gens qui sont venus la voir ce soir-là attendaient d’elle.
 
Dans le texte de la chanson « Star » de 1977 qu’elle a rédigé (la chanson a été également interprétée par Marie Laforêt, mais avec d'autres paroles), elle se met dans la peau d'une « star » se confiant à un journaliste. Parlant de scène, elle dit ceci :
 
« ... Il y a quelques femmes qui savent bouger, trois pas et c'est gagné. Peut-être si j'essayais, je pourrais y arriver. Mais je ne suis pas très à l'aise pour me servir de mon corps, j'ai peur d'oublier mon texte, je pense au prochain accord. Ce n'est pas très spectaculaire, je ne sais pas y faire, je chante, c'est tout, des chansons sur toi et nous... »
 
J’ai adoré voir Sylvie sur scène, depuis 1969 pour la première fois, jusqu’à ces dernières apparitions au Grand Rex. J’ai connu les grands shows spectaculaires, j’ai connu les moments plus intimistes, les tournées en Bulgarie, à Montréal, à New-York, au Val d’Aoste, à Gaillard, à Tokyo et Osaka... Tous différents, tous enthousiasmants.
 
Maintenant, vouloir comparer l’incomparable, c’est-à-dire ses prestations avec celles de Françoise Hardy, c’est au mieux puéril, au pire malhonnête.
 
Moi j’ai toujours aimé ces deux artistes, depuis leurs tout débuts, toujours à égalité. Peut-être que le talent de chacune correspond à une partie différente de moi-même.
 
Et je m’en trouve très bien ainsi.


Henri-Michel

Bravo Henri-Michel !

C’est exactement ce que je ressens. A titre d’exemple, Je suis transporté lorsque Françoise et Julio chantent Partir quand même...

Je peux écouter ses albums sans jamais me lasser mais j’ai besoin également de l’optimisme de Sylvie lorsqu’elle chasse ses nuages de mélancolie ou Françoise lorsqu’elle a besoin de rêver le nez en l’air.

Ce n’est pas pour rien que mes chansons préférées de Sylvie soient Merveilleusement désenchantée, l’Orient Express, Je croyais, Aimer, Mon enfance etc...

Dans leurs listes préétablies, elle ne doit même pas y figurer...