non je ne suis plus la même

Rappel du premier message :

C'était en 1972, j'avais douze ans. Avec mes parents, j 'étais au centre commercial de la belle épine ( j étais parisien à l'époque) et j'entends cette chanson chez le disquaire, en stéréo, ce qui changeait des disques de Dalida que j'écoutais sur la mange disque de mes parents..Je suis resté scotché par cette mélodie, cette voix si particulière, ces intonations... J'ai du acheter le 45t et ma passion a commencée..
Aujourd hui, 50 ans après et les noces d'or, j'aime toujours autant cette chanson, ma préférée je pense, et je l'écoute avec mélancolie me rappelant cette belle période révolue....
Voilà un petit post qui n'apportera rien mais animera un peu ce forum durant cette période estivale...

Vous êtes sûr que ce 45 T est sorti en 1972 car moi je l'ai toujours noté de 1973 et je vois sur le livre "Jour après jour" qu'il serait sorti en février 1973 ???
J'ai bien le TEST PRESSING mais pour une fois il n'y a pas de date d'inscrite dessus.

Ben oui du coup vous avez raison..Ce ne sont plus les noces d'or mais les noces de Cèdre.Et j'avais 13 ans, ça change tout car c'est a partir de 13 ans que ma mère a commencé à me donner de l'argent de poche....Je demandais tellement d'acompte pour acheter des disques, slc, hit, que quand le monsieur de la caf passait, j'avais déjà tout épuisé.....

Je me souviens parfaitement de l'émission où Sylvie chantait cette chanson pour la première fois à la télé : C'était le 1er février 1973 à Cadet Rousselle et elle était habillée d'une combinaison en lamé noir qu'elle avait porté à l'Olympia en 72.

En écoutant les paroles, ma mère me dit "Qu'est ce qu'il est con son Johnny de délaisser une belle fille comme ça, une vraie poupée !"
J'avoue que je n'étais pas peu heureux que ma mère aime Sylvie presque autant que moi !

JUVART a écrit:Vous êtes sûr que ce 45 T est sorti en 1972 car moi je l'ai toujours noté de 1973 et je vois sur le livre "Jour après jour" qu'il serait sorti en février 1973 ???
J'ai bien le TEST PRESSING mais pour une fois il n'y a pas de date d'inscrite dessus.

Je pense également que c'est début 73, probablement en février comme le dit Alain puisque Sylvie est venue chanter ce titre pour la première fois en télé le 1er février à Cadet-Rousselle, comme j'en parle dans mon précédent message.

Cette chanson avait sûrement été écrite pour être créée sur scène pour l'Olympia 72 (Peut-être pour être intégrée au passage "Non c'est rien/Ne me quitte pas") mais il semble qu'elle n'ait finalement pas été retenue pour le spectacle définitif. On n'en trouve trace nulle part sauf dans ce court extrait où on voit Sylvie répéter ce titre dans le décor de l'Olympia 72 (à 1'56 dans la vidéo)

Merci Pascal pour cet extrait que je ne connaissais pas...
Donc créée en 72 mais sortie en 45t en 73...
Mon Dieu que Sylvie était jolie et sensuelle, c'est ma période préférée de Sylvie....

Nick. a écrit:Quand j'étais petit , je comprenais " Le temps qui passe nous fait parfois du thé "

Ah parce que ce n'est pas ça ?

J ai immédiatement "accroché"à ce titre, dès la premiere écoute, tellement intime, tellement intimiste, un texte puissant qui fait écho à la vie de Sylvie. C est vrai que les intonations de 1972 sont fabuleuses, je n'ai pas retrouvé cette magie à l'Olympia 2009, sur ce titre spécifiquement, alors que ce spectacle reste l'un de mes préférés.

Ce que tu dis est aussi vrai pour beaucoup de titres de Sylvie..La Maritza, la plus belle, aime moi, je chante encore l'amour, ect, rien ne vaut l'original..Pour moi les orchestrations d'origine sont les meilleurs..Content de te lire...

thierry je pense comme toi pour les orchestrations l'originale de la Maritza est celle que je prefere surtout l'intro qui est top!

thierry 3 a écrit:Ah oui quand même.....
Remarques sur "qu'est ce qui fait pleurer les blondes", pendant des années je comprenais " je descends du lit, hop terre...."
C'est pas mieux...

Moi dans C'est une jour à rester coucher, je comprenais "tu n'es pas sur le chemin qui fait lalalère" le charme du vinyle et des électrophones !

Pour moi, c'était en écoutant "Ma liberté". Je n'entendais pas "il n'y a pas un armateur, pas un émir..." mais "il n'y a pas un arnaqueur" !