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Nouvelle interview - Presse Bretagne - Je suis une diaspora Bulgare

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Nouvelle interview - Presse Bretagne - Je suis une diaspora Bulgare  Empty Nouvelle interview - Presse Bretagne - Je suis une diaspora Bulgare

Message par Nick. Mar 13 Juin - 16:07

Merci Laurent pour cette nouvelle interview  donnée par Sylvie à un journal Breton
Sylvie Vartan : " Je suis une diaspora Bulgare "
qui nous dit un peu plus comment sera composé le nouveau show de Sylvie
Interview gourmande
Vous comprendrez pourquoi en la lisant




Sylvie Vartan : Je suis une diaspora bulgare toujours entre deux avions
Sylvie Vartan est une icône de la chanson populaire. Une icône au look copié par toutes les jeunes filles des années soixante. Une icône qui perdure. Bretagne Actuelle l'a rencontrée entre deux avions alors qu’elle prépare son prochain Olympia. Une interview citronnée au goût de tartes meringuées.
Jérôme Enez-Vriad : Comment envisage-t-on un énième tour de chant sans lassitude ?
Sylvie Vartan : Demanderait-on à un peintre comment il envisage son travail sans lassitude ? L’essentiel est de se réinventer en permanence. J’ai enregistré plus de mille deux-cents chansons, toutes avec la même exigence de bien faire. Le public a construit des souvenirs sur certaines d’entre elles, pas nécessairement les plus connues, et chacune est un peu la propriété de chacun sur laquelle est greffée un moment de vie. J’ai donc choisi d’ajouter ces chansons plus intimistes aux succès incontournables. Le spectacle sera divisé en deux parties. La première consacrée à la période qui va de l’innocence à l’arrivée du Rock’n’roll. La seconde, appelée Forever Sylvie, abordera les années 80 à aujourd’hui.

Pourquoi cette rupture à partir des 80’s ?
SV : En ce qui me concerne, ce sont les années de la maturité. Mais les années 80 marquent aussi un tournant social où nous avons tous compris que les Trente Glorieuses étaient finies. La fête avait sonné le glas avec l’arrivée du chômage, du terrorisme et des maladies incurables comme le sida, Alzheimer et Parkinson. Nous savions que rien ne serait plus comme avant. Dix ans plus tard, Internet révolutionnait le monde pour le meilleur et pour le pire.

Comment choisissez-vous vos chansons ?
SV : Uniquement au coup de cœur. Je ne réfléchis pas. Lorsque le public aime, il ne réfléchit pas davantage. Si elles me plaisent, elles plairont à d’autres. Chaque nouvelle chanson devient le premier rôle de ma discographie. Les préférences s’installent ensuite. Avec le temps.

Quel est le premier rôle de votre vie ? Chanteuse, femme, épouse, mère… ?
SV : Je n’ai jamais rien compartimenté. Tous ces emplois sont des premiers rôles. L’un est le produit de l’ensemble des autres et réciproquement. La femme est dans la chanteuse et la chanteuse est femme. C’est juste une question de lieux et de circonstances.

Vous dites n’être installée nulle part. Pas davantage à Paris qu’à Los Angeles.
SV : Je suis précisément là où je m’installe, comme les Bretons du monde entier - (Rires). J’absorbe l’endroit et sa culture à la manière d’un buvard. Ça paraitra étrange à ceux qui n’aiment pas voyager ou n’ont pas cette chance, mais c’est ma vie depuis que j’ai quitté la Bulgarie. Je suis une diaspora bulgare toujours entre deux avions

Précisément, que reste-t-il de bulgare en vous ?
SV : Des sentiments et une manière de les vivre. De l’amour et une façon de le montrer : je ne sais pas « aimer tiède ». Une gaité mélancolique, aussi, cette allégresse chagrine que l’on prêtre d’ordinaire aux Slaves. Je la sens de plus en plus avec l’âge.

L’âge at-il une importance ?
SV : Il nous définit, ne serait-ce qu’à travers l’expérience que l’on en tire. A un moment, arrive le temps d’une vie où il faut apprendre à se résigner, à se réinventer. Une bonne santé morale conditionne une bonne santé physique. L’acceptation de l’âge en fait partie. Le secret est de s’intéresser aux choses et aux gens. On tombe souvent malade par manque d’intérêt aux autres, par manque d’amour à donner et à recevoir. L’organisme s’étiole, s’affaiblit, se fragilise. L’amour est une nourriture salvatrice dans tous les sens du terme.

On vit aussi de plus en plus âgé, ce qui favorise le développement de maladies.
SV : Les personnes âgées qui vivent seules sont plus souvent malades que celles entourées. Il faut les aimer. Aimer nos parents. Aimer nos grands-parents. Les garder avec soi autant que cela est possible. Certes, les accompagnements sont parfois douloureux et nécessitent du temps, de l’énergie et de l’argent. Tout le monde n’a pas la chance d’être disponible et de pouvoir s’offrir les soins de professionnels à domicile, mais il ne faut jamais abandonner les siens. Voilà encore une rupture sociale propre aux années 80. Cette décennie fut la première à glorifier la jeunesse au détriment de l’âge, alors que vivre c’est vieillir, vieillir c’est mourir, et nous y serons tous confrontés.

Dans votre livre Mot à mot, vous évoquez l’Amour…
SV : Oui. L’amour pour ses enfants, pour ses parents, pour ceux qu’on aime.  Avec le temps, je peux juger de mes parents, de leur comportement, de leur amour. On peut vivre sans rire mais pas sans amour. C’est la seule manière de panser ses blessures. Même physiques. Une fois encore, vous guérissez mieux de tout si vous aimez et êtes aimé.

Vous semblez comblée, avez-vous encore des souhaits ?
SV : Dans l’instant, je mangerais bien une tarte au citron – (Rires)

C’est ma pâtisserie favorite. Nous pouvons échanger des adresses…
SV : Avec plaisir, je vais vous donner les miennes.

Los Angeles est peu loin pour les lecteurs de Bretagne Actuelle…
SV : La Bretagne est un peu loin pour moi aussi - (Rires).

Si vous aviez le dernier mot, Sylvie Vartan ?
SV : Ne pars pas.



Interview réalisée à Paris le 6 juin 2017
© Jérôme Enez-Vriad et Bretagne Actuelle

SYLVIE VARTAN à l’Olympia les 15 & 16 septembre 2017
Et à La Bourse du travail de Lyon le 23 septembre
Dernier ouvrage paru : Maman – Editions XO et J’ai Lu
A paraitre (30 août 2017) : La plus belle pour aller chanter - Editions Gründ

Adresses échangées de tartes aux citrons
KORKAZ – 29 rue des rosiers – 75004 PARIS
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Message par claudeosmont Mar 13 Juin - 17:53

merci Laurent, merci Nick!
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Message par Sylyne Mer 14 Juin - 1:48

Merci à vous. Interview intéressante et questions pertinentes.
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Message par GINO B Mer 14 Juin - 7:50

Superbe interview !!! Sylvie est et reste une belle personne ...avec une incroyable lucidité et les pieds bien sur terre !!!! Mais elle a en meme temps la tete dans les nuages avec ses reves artistiques ..pour son équilibre !!! Vivement la rentrée avec ce spectacle qui sera surement très beau......

GINO B
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Message par H-M.G Mer 14 Juin - 11:09

Une bien belle interview que celle-ci. Enfin un journaliste qui ne lui pose pas les mêmes questions insipides et sans imagination, directement sorties d’une fiche standard de type Wikipedia...

Et quand on pose des questions intelligentes, on obtient alors des réponses sensées, avec de la profondeur.

Sur un mode plus léger, on apprend dans la foulée son goût pour les tartes au citron. Excellent choix !

J’ai juste relevé une mauvaise relecture avant parution de la part de la rédaction du journal. Que viennent donc faire les curés dans l’interview : « Une gaité mélancolique, aussi, cette allégresse chagrine que l’on prêtre d’ordinaire aux Slaves. »

Je sais... On dit parfois que j’ai mauvais esprit.

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Message par sylvia Mer 14 Juin - 17:00

H-M.G a écrit:Une bien belle interview que celle-ci. Enfin un journaliste qui ne lui pose pas les mêmes questions insipides et sans imagination, directement sorties d’une fiche standard de type Wikipedia...

Et quand on pose des questions intelligentes, on obtient alors des réponses sensées, avec de la profondeur.

Sur un mode plus léger, on apprend dans la foulée son goût pour les tartes au citron. Excellent choix !

J’ai juste relevé une mauvaise relecture avant parution de la part de la rédaction du journal. Que viennent donc faire les curés dans l’interview : « Une gaité mélancolique, aussi, cette allégresse chagrine que l’on prêtre d’ordinaire aux Slaves. »

Je sais... On dit parfois que j’ai mauvais esprit.

H-M.G

Ce doit être une faute d'orthographe.

Mais, je pense que tu l'as deviné.
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Message par sylvia Mer 14 Juin - 17:44

Nick. a écrit:Merci Laurent pour cette nouvelle interview  donnée par Sylvie à un journal Breton
Sylvie Vartan : " Je suis une diaspora Bulgare "
qui nous dit un peu plus comment sera composé le nouveau show de Sylvie
Interview gourmande
Vous comprendrez pourquoi en la lisant




Sylvie Vartan : Je suis une diaspora bulgare toujours entre deux avions
Sylvie Vartan est une icône de la chanson populaire. Une icône au look copié par toutes les jeunes filles des années soixante. Une icône qui perdure. Bretagne Actuelle l'a rencontrée entre deux avions alors qu’elle prépare son prochain Olympia. Une interview citronnée au goût de tartes meringuées.
Jérôme Enez-Vriad : Comment envisage-t-on un énième tour de chant sans lassitude ?
Sylvie Vartan : Demanderait-on à un peintre comment il envisage son travail sans lassitude ? L’essentiel est de se réinventer en permanence. J’ai enregistré plus de mille deux-cents chansons, toutes avec la même exigence de bien faire. Le public a construit des souvenirs sur certaines d’entre elles, pas nécessairement les plus connues, et chacune est un peu la propriété de chacun sur laquelle est greffée un moment de vie. J’ai donc choisi d’ajouter ces chansons plus intimistes aux succès incontournables. Le spectacle sera divisé en deux parties. La première consacrée à la période qui va de l’innocence à l’arrivée du Rock’n’roll. La seconde, appelée Forever Sylvie, abordera les années 80 à aujourd’hui.

Pourquoi cette rupture à partir des 80’s ?
SV : En ce qui me concerne, ce sont les années de la maturité. Mais les années 80 marquent aussi un tournant social où nous avons tous compris que les Trente Glorieuses étaient finies. La fête avait sonné le glas avec l’arrivée du chômage, du terrorisme et des maladies incurables comme le sida, Alzheimer et Parkinson. Nous savions que rien ne serait plus comme avant. Dix ans plus tard, Internet révolutionnait le monde pour le meilleur et pour le pire.

Comment choisissez-vous vos chansons ?
SV : Uniquement au coup de cœur. Je ne réfléchis pas. Lorsque le public aime, il ne réfléchit pas davantage. Si elles me plaisent, elles plairont à d’autres. Chaque nouvelle chanson devient le premier rôle de ma discographie. Les préférences s’installent ensuite. Avec le temps.

Quel est le premier rôle de votre vie ? Chanteuse, femme, épouse, mère… ?
SV : Je n’ai jamais rien compartimenté. Tous ces emplois sont des premiers rôles. L’un est le produit de l’ensemble des autres et réciproquement. La femme est dans la chanteuse et la chanteuse est femme. C’est juste une question de lieux et de circonstances.

Vous dites n’être installée nulle part. Pas davantage à Paris qu’à Los Angeles.
SV : Je suis précisément là où je m’installe, comme les Bretons du monde entier - (Rires). J’absorbe l’endroit et sa culture à la manière d’un buvard. Ça paraitra étrange à ceux qui n’aiment pas voyager ou n’ont pas cette chance, mais c’est ma vie depuis que j’ai quitté la Bulgarie. Je suis une diaspora bulgare toujours entre deux avions

Précisément, que reste-t-il de bulgare en vous ?
SV : Des sentiments et une manière de les vivre. De l’amour et une façon de le montrer : je ne sais pas « aimer tiède ». Une gaité mélancolique, aussi, cette allégresse chagrine que l’on prêtre d’ordinaire aux Slaves. Je la sens de plus en plus avec l’âge.

L’âge at-il une importance ?
SV : Il nous définit, ne serait-ce qu’à travers l’expérience que l’on en tire. A un moment, arrive le temps d’une vie où il faut apprendre à se résigner, à se réinventer. Une bonne santé morale conditionne une bonne santé physique. L’acceptation de l’âge en fait partie. Le secret est de s’intéresser aux choses et aux gens. On tombe souvent malade par manque d’intérêt aux autres, par manque d’amour à donner et à recevoir. L’organisme s’étiole, s’affaiblit, se fragilise. L’amour est une nourriture salvatrice dans tous les sens du terme.

On vit aussi de plus en plus âgé, ce qui favorise le développement de maladies.
SV : Les personnes âgées qui vivent seules sont plus souvent malades que celles entourées. Il faut les aimer. Aimer nos parents. Aimer nos grands-parents. Les garder avec soi autant que cela est possible. Certes, les accompagnements sont parfois douloureux et nécessitent du temps, de l’énergie et de l’argent. Tout le monde n’a pas la chance d’être disponible et de pouvoir s’offrir les soins de professionnels à domicile, mais il ne faut jamais abandonner les siens. Voilà encore une rupture sociale propre aux années 80. Cette décennie fut la première à glorifier la jeunesse au détriment de l’âge, alors que vivre c’est vieillir, vieillir c’est mourir, et nous y serons tous confrontés.

Dans votre livre Mot à mot, vous évoquez l’Amour…
SV : Oui. L’amour pour ses enfants, pour ses parents, pour ceux qu’on aime.  Avec le temps, je peux juger de mes parents, de leur comportement, de leur amour. On peut vivre sans rire mais pas sans amour. C’est la seule manière de panser ses blessures. Même physiques. Une fois encore, vous guérissez mieux de tout si vous aimez et êtes aimé.

Vous semblez comblée, avez-vous encore des souhaits ?
SV : Dans l’instant, je mangerais bien une tarte au citron – (Rires)

C’est ma pâtisserie favorite. Nous pouvons échanger des adresses…
SV : Avec plaisir, je vais vous donner les miennes.

Los Angeles est peu loin pour les lecteurs de Bretagne Actuelle…
SV : La Bretagne est un peu loin pour moi aussi - (Rires).

Si vous aviez le dernier mot, Sylvie Vartan ?
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Interview réalisée à Paris le 6 juin 2017
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Merci, Nick, pour la retranscription de cette interview.

Interview très intéressante.
Et, réponses très intéressantes.

On apprend que Sylvie aime les tartes aux citrons.
C'est vrai que c'est délicieux!
De plus, on peut manger de ce dessert tout au long de l'année, car le citron c'est frais.

Je suis d'accord sur beaucoup de "choses" que dit Sylvie.
Sauf une minorité.
Par exemples, je ne pense pas que les maladies d'Alzheimer et de Parkinson sont des maladies des années 80.
Je pense que ça a toujours existé.
Sauf qu'à l'époque on n'en parlait pas ou peu.
Des personnes agées qui "perdaient la tête" à l'époque on disait des expressions telles que: elle (la personne) "perdait la boule" ou le "ciboulot",...
En fait, c'était l'Alzheimer.
Ce serait du à l'age et à l'atrophiement du cerveau, tout au moins d'une partie.
Et ça, on le voit en passant une IRM.

A part ça, excellente lecture!
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Message par sylvia Mer 14 Juin - 17:50

Effectivement, l'Alzheimer est une maladie ancienne des années 1900.
Pareil pour Parkinson.
Car, je viens de faire une recherche.

Maladie d'Alzheimer, sur Wikipédia:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_d%27Alzheimer

Maladie de Parkinson, sur Wikipédia:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_de_Parkinson

Bon surf.
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Message par sylvia Mer 21 Juin - 3:23

sylvia a écrit:Effectivement, l'Alzheimer est une maladie ancienne des années 1900.
Pareil pour Parkinson.
Car, je viens de faire une recherche.

Maladie d'Alzheimer, sur "Wikipédia":
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_d%27Alzheimer

Maladie de Parkinson, sur "Wikipédia":
http://fr.wikipedia.org/wiki/Maladie_de_Parkinson

Bon surf.

Quant à la maladie du Sida, là, je suis d'accord avec Sylvie.
Car oui, le sida est une maladie récente.
Contrairement à une petite minorité de gens qui prétendent que le Sida a toujours existé. C'est faux!
Dans les années 70, à l'école j'avais un camarade de classe gay que je défendais des ricanements des autres.
Ce camarade a apprécié.
Puis, nous nous sommes liés d'amitié.
Cette amitié a grandit, donc on s'invitait chez l'un, chez l'autre, présentation de nos familles respectives, de nos amis (es).
Concernant tous ses amis gays qu'il avait, toujours dans le domaine de l'amitié, et il en avait beaucoup, il sortait pas mal, il me les avait présenté.
Aussi, je peux dire et certifier que le Sida n'existait pas. Je n'ai vu aucune de ces personnes malades.

Alors oui, c'est une nouvelle maladie des années 80.
Concernant sa venue, tellement de rumeurs ont circulé...

Maladie du Sida, sur "Wikipédia":
http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_d%27immunod%C3%A9ficience_acquise
sylvia
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